Le rapport souligne que le touriste du XXIe siècle raisonne de plus en plus comme un « consomm'acteur ». Je suis surpris que vous recouriez à cette notion, qui me semble empruntée aux concepts du développement durable ; elle implique aussi une responsabilité sociale. Pensez-vous que l'e-touriste peut vraiment se rapprocher de ce modèle ? Quant à la montée en puissance de nouveaux intermédiaires, n'ouvre-t-elle pas la voie à une totale désintermédiation, les clients finissant par entrer finalement tous en contact direct avec les hôtels ?