L'évolution des normes prudentielles conduit indéniablement à une raréfaction du crédit aux entreprises. Pour relancer efficacement l'investissement, et donc la croissance, la solution réside-t-elle dans un relâchement de ces normes, ou bien faut-il aller vers une financiarisation ?
Les rigidités du code du travail constituent-elles à votre sens un frein considérable à la croissance française ?