Je partage l'avis du rapporteur, à ceci près que je vous pose, moi, la question : pourquoi les pouvoirs publics ont-ils laissé 65 gardes mobiles face à 150 personnes déterminées et très équipées ? Si des consignes d'apaisement avaient été données, la meilleure manière de les respecter était de les retirer.
Qu'en a-t-il été, par ailleurs, de la coordination avec la préfecture ?