Cet amendement vient, monsieur Pietrasanta, rétablir fort heureusement une situation paradoxale. Les victimes d'actes de terrorisme se voient appliquer jusqu'à présent des règles plus restrictives que les victimes d'infractions de droit commun. Il fallait y remédier, et je vous en remercie.
(L'amendement n° 5 est adopté.)