J'apprécie pleinement les mesures qui ont permis la mobilisation contre la menace terroriste. Les 10 000 militaires déployés pour assurer la sécurité des sites sensibles sont sans doute concentrés sur les zones urbaines, les territoires ruraux étant gérés par la police et la gendarmerie.
Quelle est la part des réservistes parmi les mobilisés ?
Je tiens à exprimer mon désaccord avec l'article que Le Point a publié le 19 janvier. Intitulé « Plan Vigipirate : branle-bas de combat chez les militaires », il critique injustement la logistique de l'opération.
S'agissant du coût des opérations militaires, la conférence interparlementaire sur la PSDC qui s'est récemment tenue à Rome a prouvé que les choses commençaient à bouger, tant du côté des Italiens que des Allemands. La question sera à l'ordre du jour de la prochaine conférence interparlementaire de Riga ; si les élus de toutes les nations pouvaient se mobiliser, Bruxelles se déciderait peut-être enfin à améliorer le dispositif Athéna.