C’est une avancée considérable, attendue depuis des années par 23 000 chauffeurs routiers français qui voient leur position sociale décliner, et le pavillon français décliner à l’étranger. Elle est dans la loi Macron. Il va falloir aujourd’hui la porter au plan européen.
À cet égard, votre prédécesseur, M. Frédéric Cuvillier, avait engagé un mouvement d’harmonisation sociale, par le biais d’une négociation avec onze États membres. C’est parti de Paris l’année dernière. Je voudrais savoir quelle suite vous allez donner au plan européen à cette audace française reflétée par la loi Macron, dont on dit à tort qu’elle est libérale !