Cette évolution statutaire donnera la possibilité à ces grandes agglomérations de continuer à renforcer leur intégration intercommunale pour demeurer attractives et dynamiques dans un environnement institutionnel modifié et sans doute plus concurrentiel.
Reste la question essentielle du déficit démocratique de nos intercommunalités. Là aussi, nous nous félicitons de l’adoption, en commission, d’un amendement que nous avons porté pour que le principe de l’élection au suffrage universel direct des élus intercommunaux en 2020 soit acté, tout en laissant le temps au Gouvernement de proposer à nos assemblées des modalités concrètes de ce scrutin.