J’ai déjà expliqué, en commission de la défense, que nous ne pourrons pas augmenter à nouveau les moyens de l’armée si nous ne touchons pas à la déconcentration. Dans les préfectures, 90 000 emplois doublonnent 24 000 emplois des régions. Cela ne doit-il pas nous faire réfléchir ?
N’est-il pas plus important d’attribuer des moyens aux collectivités locales, d’une manière claire, précise et démocratique, que de maintenir un réseau de sous-préfectures…