C’est ce que j’ai dit.
Alors, qu’au XXIe siècle, siècle des TGV, des Rafale et d’Ariane, il nous faille quatre heures, cinq heures maximum, pour traverser une région, semble rester dans l’ordre du raisonnable. Et surtout, cela va nous permettre de trouver l’équilibre entre l’indispensable rayonnement de notre pays et la nécessaire proximité avec les citoyens.
Aujourd’hui, il s’agit donc pour nous de définir les compétences et les pouvoirs de collectivités qui se superposent et parfois se concurrencent, et cela au détriment d’un développement économique plus efficace et rationnel, de la solidarité et de l’égalité que nous avons à assurer à chaque citoyen, où qu’il soit avec la volonté de mutualiser les dépenses, chaque fois que cela représente une source d’économie.
De même que dans la grande région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, nous sommes à la confluence de la Dordogne et de la Garonne, c’est à la confluence entre régionalistes et départementalistes, dans un esprit de convergence, que nous pouvons nous situer, afin de gommer les clivages.
Aussi, je dis oui aux régions, en ce qui concerne la compétence économique : à un moment où il faut de la clarté et savoir qui fait quoi,…