Les adaptations sont possibles. Ce qui fait débat, c’est la question du plancher : faut-il le fixer à 5 000 habitants ? Doit-on au contraire laisser certaines intercommunalités de 1 500 habitants vivre – ou plutôt survivre ? La question est posée ; nous pouvons en discuter.
Je fais confiance aux élus de ces territoires.