Nous sommes tous d'accord avec le rapporteur général : nous sommes des élus de la nation et devons réfléchir comme tels. Nous ne pouvons toutefois rester indifférents à certains exemples concrets.
Quand j'entends M. Chassaigne parler avec son coeur, je me rappelle une phrase qu'adolescent j'entendais souvent lorsqu'on aimait la politique : « Vous n'avez pas le monopole du coeur. » (Rires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)