Je me souviens qu'en 2005, déjà, j'étais intervenu, en tant que député européen, sur le contentieux relatif à l'échalote. Hélas, la France ne parvient pas à réunir une majorité au Parlement européen sur cette question. Mais je ne renonce pas pour autant à défendre la véritable échalote, bretonne notamment, dont la production requiert une main-d'oeuvre beaucoup plus importante que celle de l'échalote de semis.