Intervention de Catherine Procaccia

Réunion du 7 novembre 2012 à 18h00
Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques

Catherine Procaccia, sénateur :

– Les retombées du secteur spatial s'étendent à la météorologie, la surveillance, des services spatiaux tels que le GPS, y compris la synchronisation des horloges, et bien sûr les télécommunications. De très nombreux services, par exemple les transactions financières, seraient inaccessibles en l'absence des satellites. Par ailleurs, le CNES estime que lorsqu'on investit 1 euro dans les infrastructures, on crée 20 euros de retombées en termes d'applications. Ces retombées sont mal quantifiées car elles s'étendent aux terminaux etc. Notre quotidien dépend aujourd'hui de l'espace.

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