Comme d’autres – et comme vous, sans doute –, je doute que les frondeurs soient d’un bois tel qu’ils passent à l’acte. Toutefois, ils nous ont habitués, je dois le concéder, à un certain courage. Mesurez donc bien ce qui se joue ici, monsieur le Premier ministre : pour votre gouvernement, ce sera au mieux le début de l’immobilisme, au pire le début de la fin.