Avez-vous oublié qu’elle avait ici une majorité, que le Gouvernement n’eut jamais besoin de brutaliser ? Avez-vous oublié que le groupe de l’UMP n’a jamais failli, comme vient de le faire le groupe socialiste, obsédé qu’il est par la préparation de son prochain congrès ?
L’alternative politique, monsieur le Premier ministre, elle existe. Nous la construisons jour après jour. Nous avons fait des propositions au cours du débat pour bâtir le consensus économique dont la France a besoin.