Notre proposition de loi ne doit pas mettre « à feu et à sang » la société française, qui a suffisamment de sujets de conflits. Nous souhaitons conduire notre travail parallèlement à celui qu'entreprendra le Sénat en maintenant une information réciproque afin de présenter des travaux reflétant une démarche commune. Le groupe de travail, présidé par Maud Olivier, est représentatif ne presque tous les groupes politiques, un groupe cependant ne souhaite pas y participer.
S'agissant de l'architecture de la proposition de loi, je propose de présenter successivement les quatre leviers d'action : le volet éducatif, la lutte contre le crime organisé et les mafias, l'aide aux victimes de violences, pour en terminer avec la pénalisation et sensibilisation du client. Quant à son titre, je souhaite qu'il inscrive le texte dans le cadre de la lutte contre les violences.