Nous auditionnerons des associations que nous n'avons pas encore entendues, comme la Ligue des droits de l'homme et Médecins du monde. Nous nous rendrons ensuite en région afin de rencontrer les associations et les acteurs de terrain, en présence du ou des parlementaires de la circonscription où l'association exerce son activité.
Il est important de rendre publique la position abolitionniste de la France car il suffit que les gens comprennent ce qu'est réellement la prostitution pour que leur point de vue évolue dans le bon sens.
Nous élaborerons des propositions complémentaires à celles contenues dans la proposition de loi Bousquet-Geoffroy déposée le 7 décembre 2011. En septembre, une table ronde pourrait être organisée afin de rapprocher l'ensemble des associations et des experts qui ont participé à notre réflexion. Nous espérons que la ou les propositions de loi qui seront issues de ces travaux pourront être examinées par les Assemblées au deuxième semestre 2013.