Le « stress » collectif étant un gage de réussite en ces matières, il convient de ne pas rompre les rangs. Ce dont nous sommes certains, c'est qu'il n'y a jamais eu de meilleure défense de l'octroi de mer que l'évaluation menée par le cabinet Lengrand. Certes, l'Espagne n'a jamais eu de problème pour faire accepter par Bruxelles l'AIEM, qui est l'équivalent de l'octroi de mer pour les Canaries, mais ce dispositif s'applique dans un seul territoire. Évaluer l'impact de l'octroi de mer suppose, en revanche, d'expertiser quatre, voire cinq dispositifs distincts, dans des environnements régionaux très différents. Le travail accompli par le cabinet Lengrand nous semble tout à fait à même de recueillir l'adhésion de la Commission.