Pardonnez-moi, madame Massonneau, si la formulation que j'ai retenue a pu vous heurter. Je crois que la loi ne peut pas détailler expressément les modalités pratiques de la sédation. En tout cas, il est impossible d'engager avec un patient un dialogue où il lui serait demandé combien de temps il compte vivre encore : quinze minutes, davantage, que sais-je… Peut-être la formule la plus précise qui puisse être employée serait-elle « pas trop longtemps »...