Intervention de Philip Cordery

Réunion du 17 février 2015 à 21h30
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilip Cordery :

Jamais, monsieur Claeys, nous n'avons opposé la sédation profonde et l'assistance médicalisée à mourir – nous avons d'ailleurs voté l'article 3. Nous souhaitons simplement que ces deux choix soient offerts aux patients, et rien ne nous empêche de franchir ce pas supplémentaire. Par ailleurs, madame Delaunay, il n'est pas inutile de regarder ce qui se fait à l'étranger et de se nourrir de l'expérience des autres. En outre, dès lors que la liberté de circulation est reconnue au sein de l'Union européenne, des inégalités se créent, puisque la législation diffère d'un pays à l'autre. C'est un fait qu'il faut prendre en compte lorsque nous légiférons.

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