Comme je l'avais indiqué lors de l'examen de la proposition de loi de Mme Véronique Massonneau, nul n'a raison ou tort sur de tels sujets, qui font appel à des convictions intimes, par définition toutes respectables. Je ne doute donc pas de la qualité d'un débat qui transcendera nos clivages habituels, dès lors qu'il sera question de l'attitude de chacun face à la mort, la sienne comme celle de ses proches. Aucun jugement ne sera donc porté sur les positions des uns et des autres.