Je crois comme mes collègues que l'article 1er doit faire référence au respect de la volonté du patient qui fonde le texte.
Si le patient ne souhaite pas recevoir la sédation profonde, que M. Leonetti a précédemment qualifiée très justement d'anesthésie, il faut qu'il puisse l'exprimer. Cette solution, qui semble présenter quelques inconvénients, ne doit pas lui être imposée.