L'audition du général Pierre de Villiers, chef d'état-major des armées, a encore démontré que l'association des parlementaires est utile. Nous pouvions échanger en connaissance de cause. Nous étions avec Valérie Fourneyron autour du jour de l'an sur le terrain avec nos troupes et nous savons ce qu'est l'opération Barkhane. Le déplacement de plusieurs d'entre nous en République centrafricaine a joué un rôle important et nos impressions n'ont pas laissé insensible le général, notamment s'agissant de la perception de l'armée française comme force d'occupation.