Vous vous interrogez sur les moyens d'intéresser un cercle plus large de participants aux débats publics sur les projets ayant une incidence environnementale. La professionnalisation des personnes impliquées dans les débats, l'oligopole de la parole environnementale dont elles semblent jouir sont-elles, selon vous opportunes ? S'agit-il d'un mal nécessaire – et temporaire – pour le succès de la cause environnementale, ou y voyez-vous un risque pour la démocratie participative ?