Je me suis particulièrement intéressé au passage du rapport de la Cour sur la surveillance aéromaritime. Vous écrivez qu'au-delà des marchés déjà signés, il faut appliquer un moratoire à l'acquisition de tout nouveau moyen aérien ou naval. Mais il me semble lire entre les lignes qu'une réorganisation d'ensemble est nécessaire. Vous pointez aussi un vrai problème d'organisation en relevant que « la DGDDI donne la priorité à la préservation de son périmètre sur les impératifs d'efficience ». Pour définir la stratégie de l'État en mer, ne faut-il pas une inter-ministérialité plus grande ?