Comment travaillez-vous avec les collèges et les lycées où nombre de jeunes filles sont désireuses d'avoir accès à une IVG ? On constate souvent un déficit d'infirmières et de médecins qui seraient en mesure de les accompagner. Il est important d'avoir une vision globale du parcours d'une jeune femme qui peut solliciter des IVG aux différentes étapes de sa vie, à partir de l'âge de quatorze ou quinze ans.