Le conseil de surveillance est une institution majeure de l'hôpital. Son président est bien placé pour faire le lien entre la vie interne de l'établissement et l'environnement proche. Son appréciation est donc très importante pour nous : il s'agit d'un deuxième regard, complémentaire de celui du directeur général de l'ARS, lequel est force de proposition. Cela nous aide dans nos évaluations et nous permet, le cas échéant, de repérer certains problèmes. Tel est notamment le cas lorsque nous constatons un écart entre les deux appréciations, ce qui peut nous amener à rencontrer le directeur concerné afin de recueillir son opinion sur son positionnement et sur ses difficultés éventuelles. Nous pouvons ainsi prévenir certains risques, notamment psychosociaux, et mieux accompagner les professionnels. Nous travaillons beaucoup sur ces risques actuellement et allons développer un programme avec l'EHESP en la matière.