Monsieur le rapporteur, monsieur le ministre, vos propos ont du mal à me convaincre.
L'intéressé est nommé par le Gouvernement. Si aujourd'hui je ne doute pas de l'impartialité de l'État dans cette affaire, la majorité peut changer. On prend donc peut-être un risque pour l'avenir.
Je ne doute pas non plus de l'indépendance du directeur général d'aujourd'hui qui, comme vous l'avez dit, a défendu son institution bec et ongles, sous l'attention vigilante du membre de la commission de surveillance.
Je vais retirer mon amendement. Toutefois, des faits ayant montré, dans les années précédentes, que l'État impartial est parfois devenu un État partial, il faudra se pencher sur cette question.
(L'amendement n° 20 est retiré.)