C'est au législateur de voir comment réformer les procédures d'enquête d'utilité publique et comment associer un peu plus le citoyen. Nous n'en serions pas là si ces procédures avaient été réformées. Si tous les « zadistes » ne se ressemblent pas, ils ont un trait commun, celui de ne pas se reconnaître de chef, ce qui pose un problème à ceux qui sont chargés du maintien de l'ordre puisqu'ils ne savent pas avec qui ils vont discuter. Comme ils sont adeptes de ce qu'ils appellent la « dispersivité », il est assez difficile de trouver un interlocuteur.