Dans le dossier Coulibaly, on a bien vu que ces gens-là se servaient des médias. Et on aboutit, avec les réseaux sociaux, à quelque chose d'effrayant. On contrôle très mal les choses, d'autant que les chaînes d'information en continu sont dans une course à l'échalote permanente, au point que l'on a entendu un présentateur indiquer à quel endroit se trouvaient les otages dans l'épicerie casher.