Madame la présidente, je vais vous faire une confidence : ayant été martyrisé dans mon corps et dans mon territoire par cette affaire, dont mon territoire porte encore les stigmates pour de longues décennies – pour ne pas parler d’un traumatisme psychique pour lequel je me fais soigner régulièrement ! – je vais maintenir, symboliquement, mon amendement. Le compte rendu de nos débats figurera au Journal officiel. Ce que nous avons vécu dans mon département, ce que j’ai vécu personnellement, pour des raisons diverses que j’écrirai un jour, je ne le souhaite à personne, quelle que soit sa couleur politique, sur les bancs de cet hémicycle.
J’ai déposé à dessein cet amendement afin que nos propos soient consignés au Journal officiel…