En tant que président de l’ANRU, je tiens à apporter les précisions suivantes sous le contrôle de M. Leroy, qui fut ministre de la ville. Soyez bien conscients d’une chose : le seul endroit de France où l’ANRU ne parvient pas à dépenser les subventions promises, en l’espèce plusieurs centaines de millions d’euros pour rénover l’ensemble des quartiers défavorisés, c’est Marseille.