Les quartiers Nord ne sont pas les seuls concernés : je pense aussi à Air Bel, au Petit-Saint-Marcel et à une partie de la vallée de l’Huveaune, qui sont autant de dossiers refusés par l’ANRU alors qu’ils remplissaient tous les critères.
Et qu’en est-il des quartiers qui, avec la nouvelle géographie prioritaire de la ville, se sont trouvé exclus des zones géographiques prioritaires alors même qu’ils remplissaient les critères requis, ce qui obère gravement leur développement ?
J’en viens à la question des moyens accordés par l’ANRU. Tout d’abord, alors que chacun des dossiers de la Seine-Saint-Denis mobilise quinze personnes, une seule personne est chargée des quinze projets marseillais.