Dans la presse locale, 4 000 personnes disent leur mécontentement. Ce n’est pas l’UMP ou le parti communiste qui le disent, c’est Nicole, qui est venue voir un parlementaire dans sa permanence et qui en a parlé dans la presse locale, parce qu’elle ne touche plus la pension de réversion de son mari et qu’elle ne sait pas comment payer son loyer social, c’est Maryse, qui, après quarante ans de travail, est obligée de reporter de plusieurs mois son départ en retraite parce que l’État abandonne sa caisse de retraite.