S’agissant de ces amendements, j’étais un peu réservé, parce que nous avions maintenu, suite à un amendement du Sénat, des volumes exorbitants, notamment relativement au coût. Mais on ne peut pas faire fonctionner les conseils de territoire sans cabinet – celui de la CUM représentera 1,2 million d’habitants et celui de la ville d’Aix 400 000. On peut maintenir au moins trois collaborateurs de cabinet, permettant de faire fonctionner la présidence de conseil de territoire, qui est le lien avec les maires et les services et le lien avec la métropole, sans arriver à un tel chiffre. Maintenir quarante-huit collaborateurs, cela n’a pas de sens. Mais garder les treize collaborateurs du président de la métropole, pour qu’il puisse travailler, et maintenir trois collaborateurs par conseil de territoire, cela permettait de faire fonctionner la métropole dans la phase transitoire. Je me tourne vers mon collègue Mennucci : cela me semble acceptable de conserver un cabinet, si le nombre choisi pour les collaborateurs est raisonnable.