Nos collègues de toutes tendances politiques semblent s'accorder sur le caractère parcellaire de la proposition de loi qui aurait dû aborder l'ensemble de la problématique des cantines. Je regrette pour ma part que le texte n'évoque ni la nutrition en termes qualitatifs ni les circuits courts qui permettraient aux communes de faire des économies. J'aurais apprécié que vous fassiez référence à la loi du 13 octobre 2014 d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt, qui fait la promotion de l'approvisionnement local en restauration collective, notamment pour les circuits courts.