Pouvez-vous nous dresser un rapide état des lieux de la coopération internationale, européenne notamment, concernant la protection contre le risque nucléaire ?
En 2012, vous avez fait des déclarations assez tonitruantes dans la presse sur la situation post-Fukushima en France, soulignant notamment qu'EDF et Areva n'avaient pas fait leur révolution nucléaire : estimez-vous que les choses ont réellement changé depuis ? Y a-t-il eu vraiment un effet post-Fukushima ayant permis aux acteurs de la filière d'évoluer dans leur perception et une réelle modification des pratiques ?