Monsieur le président, pour être également issu de la fonction publique, j'ai été choqué par certains propos tenus et j'approuve à 1 000 % ceux de M. le ministre qui, en l'espèce, a été remarquable. Pourquoi ne doit-on pas attaquer un fonctionnaire ? Parce qu'il ne peut répondre sur le même ton. On peut attaquer un élu, mais pas un fonctionnaire.
J'en viens à l'amendement n° 33 , lequel se situe dans la même veine que les amendements que j'ai déjà défendus. Je ne me fais pas d'illusions compte tenu des réponses que j'ai déjà obtenues, mais je voudrais tout de même insister sur les entreprises d'ambulances, secteur d'activité sur lequel nous sommes les uns et les autres alertés.
Visiblement, nombre d'ambulanciers recourent à des heures supplémentaires. Je souhaiterais donc, faute de disposer de tous les éléments du débat, être éclairé sur les conséquences de la suppression des allégements. J'imagine que votre réponse, monsieur le rapporteur général, sera toujours la même. Je ne me fais pas d'illusion, mais au moins que l'on nous donne des éléments objectifs sur cette affaire.