Je souscris pleinement aux propos de M. Goua : tout comme les dons, dont nous débattrons bientôt, qui soutiennent les associations de bénévoles oeuvrant dans le domaine social, cette dépense fiscale est indispensable aux activités culturelles. Il serait beaucoup plus coûteux de la remplacer par une subvention de l'État. Ce raisonnement a conduit l'Inspection générale des finances à l'évaluer positivement. Ce n'est pas le moment de la modifier.