Comme mon collègue Yannick Favennec, je m'interroge sur la possibilité d'obtenir un accord juridiquement contraignant. À Kyoto, seulement une partie des États avaient signé le protocole. Que fait-on si tous ne s'engagent pas cette fois-ci ? Enfin, je m'interroge sur la différence déjà évoquée entre les dix milliards d'euros rassemblés pour le Fonds vert et les cents milliards à trouver pour le financement du développement après 2020.