La féminisation des titres et des fonctions fait l'objet d'un véritable débat. Pourquoi ne pas l'engager, d'ailleurs ? Mais je ne crois pas opportun de le faire à l'occasion de l'examen d'un texte sur la présidence – le mot est choisi avec soin, madame la rapporteure ! – du conseil d'administration de l'Agence française pour la biodiversité. Cela me semble un peu cavalier, à tous les sens du terme !