J'ajoute que General Electric est une société d'infrastructures et de technologie ; nous consacrons 5 % de notre chiffre d'affaires à la recherche et développement, ce qui représente 6 à 7 milliards de dollars par an. Là encore, il faut raisonner en termes mondiaux : l'expertise locale doit être conjuguée avec l'expertise mondiale. Dans le domaine de l'hydro-électricité par exemple, nous sommes très heureux de pouvoir compter sur les capacités du centre de recherche et développement de Grenoble, que nous souhaitons développer : nous voulons continuer le formidable mouvement d'innovation qui existe ici en France.