Elle a repoussé ces amendements.
Je m’interroge pour ma part sur les motifs réels qui ont conduit à proposer cette locution. Nous parlons ici de continuités écologiques bien définies : il existe des réservoirs de biodiversité et, dès lors que nous définissons la biodiversité comme dynamique, il est nécessaire de permettre aux espèces de se mouvoir d’un espace à un autre. Ce n’est pas l’homme qui a l’usage de ces continuités, ce sont les espèces. Je me demande comment de tels amendements ont pu arriver en discussion – à moins qu’ils n’aient été promus par je ne sais qui… Ils n’apportent strictement rien au débat et à la question des continuités écologiques.