Certains propos me paraissent quelque peu outrés.
L'amendement de Christian Paul prolonge un dispositif voté par l'ancienne majorité sans qu'il ait alors été question d'étatisation et il prend en compte les besoins de la démocratie sanitaire, dont le fonctionnement d'instances comme les conférences nationales ou régionales de santé, mais aussi d'autres structures où figurent les représentants des patients ou des usagers.
Selon l'opposition, il accablerait de surcroît notre industrie pharmaceutique, mais c'est l'un des rares secteurs dont la balance commerciale est encore positive.