Les responsables de l'Agence regrettent que la part des jeunes des quartiers prioritaires ne soit pas supérieure à 17 % et s'interrogent sur les moyens de faire en sorte que le service civique soit mieux ciblé sur eux.
J'ai également relevé dans vos rapports le manque de contrôle et de suivi des personnes morales agréées et il semble que, dans un certain nombre de cas, on ne soit pas certain que la façon dont ce service est réalisé corresponde à ce qu'on pouvait attendre. Avez-vous des réponses à apporter sur ce point ?
Le volontariat international en entreprise (VIE) est un peu assimilé au service civique : c'est une initiative très intéressante pour faire découvrir le monde aux jeunes ; elle me paraît devoir être encouragée.
Par ailleurs, nous avons d'énormes problèmes dans les logements sociaux : avez-vous développé une spécificité du service civique en liaison avec les bailleurs sociaux à cet égard ? Ne peut-on aller plus loin dans ce domaine ?
De même, avez-vous songé à favoriser le soutien scolaire ?
Enfin, l'accompagnement des personnes âgées me paraît constituer un gisement d'activité important.