À supposer que le doyen de l'université soit d'accord, il n'a aucune autorité sur un professeur ou un maître de conférence. Et il faut bien reconnaître que les facultés de droit ne sont pas très ouvertes à l'innovation…
Nous avons été auditionnés par le ministère de l'enseignement supérieur. Nous proposons, dans notre rapport, de lancer des appels d'offres à des universités qui accepteraient de faciliter l'accès à leur cursus et d'adapter leur formation à des athlètes à partir d'un cahier des charges très strictes.
Le MEDEF, que nous avons reçu, nous a indiqué, quant à lui, être prêt à insérer professionnellement davantage de sportifs de haut niveau, à participer à des bilans de compétences, à la validation des acquis de l'expérience.
Tout cela montre que des possibilités existent, à condition que nous allions tous dans le même sens.