S'agissant de l'élévation de la température, le constat est sans appel : ce sont les territoires qui contribuent le moins à ce phénomène qui demain en subiront le plus les conséquences. Cela vaut pour les territoires d'outremer, mais également pour les zones de montagne ou du continent africain qui contribuent peu à l'élévation de la température, mais qui, demain, seront fortement impactées.
Mes collègues reviendront dans le détail sur des questions plus précises, comme l'élévation du niveau des océans ou la prolifération des algues marines, qui est d'ores et déjà un vrai problème, l'intensité et la fréquence des catastrophes climatiques. Mais d'ores et déjà, au nom de l'ensemble des parlementaires du groupe UMP, je souhaitais exprimer notre reconnaissance et notre fierté de compter dans notre belle République les territoires d'outremer.