Hélas, les nouvelles versions et vos amendements de commission sont vains, voire dangereux.
L’article 4, par exemple, remet en cause le consensus trouvé avec la filière viticole sur les modalités de publicité des boissons alcoolisées : après le Gosplan, voilà revenu le ministère de l’information, à qui il reviendra de fixer par arrêté la liste et les caractéristiques des informations sanitaires des messages publicitaires et promotionnels. En stigmatisant les produits au lieu de lutter contre l’abus de consommation, vous vous détournez résolument de l’esprit originel de la loi Evin,…