S’il s’agit, comme je l’ai dit tout à l’heure, de défendre l’accès des femmes, aussi bien aux sages-femmes qui peuvent pratiquer des actes de gynécologie médicale, qu’à un service de santé où exercent des gynécologues médicaux, je suis d’accord. Il en va différemment s’il s’agit, une fois de plus, de glisser dans cette loi relative à la santé la négation de la différence des sexes.