Madame la députée, je ne peux que partager votre objectif. Il faut évidemment que les enfants partent à l’école en ayant pris un petit-déjeuner et, si possible, que les grands aussi partent travailler avec un petit-déjeuner dans le ventre. Croyez-vous cependant que c’est parce qu’on aura écrit cela dans la loi que les enfants prendront leur petit-déjeuner ?
Cet objectif, auquel je souscris, fait partie des préconisations de l’Institut national de la prévention et d’éducation pour la santé et ne relève pas du niveau législatif. Je vous invite donc à retirer votre amendement, à défaut de quoi j’émettrai un avis défavorable.